Tatiana Renard-Barzach Compagnon

Tatiana Renard-Barzach Compagnon – Du début des années 1970 jusqu’à son entrée dans la fonction publique, Michèle Barzach a travaillé comme gynécologue dans le XVe arrondissement de Paris. Le Monde la décrit comme “modérément libérale” malgré son parcours politique débutant comme “consultante d’arrondissement” et “adjointe au maire du XVe” sous l’œil attentif de Jacques Chirac avant même d’être nommée à son poste actuel.
Cela signifie qu’elle est “modérément conservatrice” dans le contexte de la période. Elle le prouvera d’ailleurs assez vite en s’opposant au projet de la nouvelle majorité RPR-UDF de mettre fin au remboursement des avortements par le SSS quelques semaines après sa prestation de serment. Le médecin et député RPR de la Nièvre, Bernard Savy, a même déposé une amendement dans ce sens.
Elle explique ensuite à l’Assemblée pourquoi il est crucial de « conserver un dispositif permettant de ne priver aucune femme de la possibilité de choisir l’IVG pour insuffisance de ressources », même s’il faut aussi aider les femmes à éviter le recours à l’avortement en élargissant l’accès à l’information sur le contrôle des naissances.
à laquelle la ministre de la Santé Simone Veil lèvera cette exigence et accordera aux mineurs le droit à l’anonymat.La police de Paris, agissant dans le cadre de l’enquête ouverte par le conseil après les faits reprochés à Gabriel Matzneff par l’éditrice Vanessa Springora dans le livre Le Consentement (Grasset), a buté à plusieurs reprises sur le nom de Michèle Barzach à une époque où, si on en croit ce qu’il a écrit, elle a été le témoin privilégié, et non la complice, de ses actes.
L’éditeur, Antoine Gallimard, a retiré toutes les œuvres de Matzneff de la vente (comme l’ont fait la plupart de ses autres éditeurs), et “nous a demandé par écrit que nous envoyions à l’OCRVP un exemplaire de chaque numéro du Journal de Gabriel Matzneff”. Cela a été rapporté dans le Journal du dimanche.
Cette demande a également été transmise aux autres maisons d’édition de La Table ronde. C’est ainsi que la lecture de ses journaux intimes mais toujours publics a commencé : une demi-douzaine de volumes publiés entre 1976 et 2019 qui révèlent dans les moindres détails pratiquement tous les aspects de sa vie privée de 1953 à 2018.
Elie et Phaéton (Table ronde) couvre les années 1970-1973.A cela, il ajoute « Je suis sous le charme de cette céleste de quinze ans », ce qui en dit long sur la nature authentique de ses attirances : comme Erik Pyrieff, le rat qui campe le jeune Ivan dans la seconde moitié d’Ivan d’Eisenstein le Terrible, il a un « visage ovale », « de grands yeux de velours », un « nez fin » et « des lèvres charnues et sensuelles ».
Quoi qu’il en soit, et quoi que cela ait à voir avec la psychanalyse, Francesca passera bientôt du lit parental à celui de Matzneff. Et si elle tombe enceinte ? Si elle était déjà tombée enceinte. Aujourd’hui, c’est le 9 novembre, et Matzneff s’inquiète : « J’achète quelque chose à la pharmacie pour savoir si on attend un bébé ou pas.
Francesca, après avoir terminé ses études, vient chez moi pour passer l’examen. Oh non, c’est une mauvaise chose. Mais d’abord, nous devons trouver un gynécologue qui accepte de lui donner la pilule sans prévenir sa mère.
Oui, mais où et comment se débarrasser de cette bégueule baveuse.Un intermédiaire était nécessaire; il l’identifie comme étant Juliette Boisriveaud.Pour comprendre qui est cette personne aujourd’hui, il fallait être féministe dans les années 1970.Elle a 41 ans lorsque Gabriel Matzneff fait appel à son carnet d’adresses.
En ce jour de 1973, Matzneff a pu écrire : « Je crois qu’aujourd’hui, chez la gynéco, Francesca a pris la pleine mesure de mon amour, qu’elle a prouvé que.Ce rendez-vous avec le Dr Michèle Barzach a été rendu possible par Juliette Boisriveaud.
Un autre exemple se trouve dans Les Soleils révolus (1979-1982) (Gallimard), mais ce n’est pas le seul elle, tout ce qu’elle a fait était de murmurer (tout son corps tremblait) qu’elle ne prenait pas la pilule. Alors, je suis tombée amoureuse de lui. J’étais une personne très avant-gardiste et tolérante. C’était magique pour moi, et je ne doute pas qu’elle ressentait la même chose.
Deux jours plus tard, elle a “très peur d’avoir un bébé Matzneff !” En réponse, il dit: “J’ai fait attention.” L’inquiétude ne fera qu’augmenter si quelque chose est fait. Marie-Elisabeth sera accompagnée par lui pour voir le Dr Barzach le 6 septembre. Cette fois, il l’attendra dans la salle d’attente. Marie-Elisabeth sortira de la salle de bain « radicale », en disant : « Le bébé Matzneff était une fausse alerte ».
Gabriel Matzneff fait cet aveu dans son carnet de 1977-1978 intitulé “Un galop d’enfer” (La Table ronde). Pour le dire crûment, je suis foncièrement, et irrémédiablement, pédophile quand je compare le désir raisonnable qu’une belle jeune femme comme Véronique m’inspire au bouleversement absolu qu’une jolie jeune fille de quinze ans comme Marie-Elisabeth opportunément opportuniste opportunément opportuniste opportunément opportunément opportuniste o
Michèle Barzach, une autre psychanalyste, ne l’a-t-elle pas remarqué
La nouvelle dirigeante de l’organisation a déclaré : « Dans la continuité de ma vie consacrée aux femmes et aux enfants, je servirai avec conviction et enthousiasme la stratégie de l’Unicef basée sur le concept d’équité, pour permettre aux plus vulnérables d’accéder aux droits fondamentaux à l’être humain ». vie : santé, nutrition, éducation et protection ». Son mandat a pris fin en juin 2015.
Voici le programme PoliticoZap de ce mardi qui vient : Valérie Trierweiler pendant la fashion week ; Copé et Fillon ne voulant pas savoir qui est le chouchou de Sarkozy ; Jérôme Cahuzac défend vaillamment son budget.Tous les jours à 20h30, le PoliticoZap de BFMTV vous propose un récapitulatif de l’actualité politique la plus excitante de la journée. A l’honneur les invités du jour : François Fillon, Jean-François Copé, Jérôme Cahuzac et Valérie Trierweiler.
La première dame de la mode. Valérie Trierweiler a été plus privée ces derniers temps. Mardi, la première dame a été aperçue au premier rang du défilé Yaves Saint-Laurent. Et si François Hollande était à Echirolles, elle était plutôt bien protégée. Anna Wintour, rédactrice en chef du Vogue américain, se tient à sa gauche, tandis que Pierre Bergé, ancien compagnon d’Yves Saint Laurent et partisan de… Ségolène Royal, se tient à sa droite.
C’est la guerre s’il y a une coupe budgétaire. Lionnel Luca, membre de la Droite populaire, s’oppose farouchement au traité budgétaire de l’Union européenne et le précise : “C’est une capitulation sans conditions, la dernière fois que nous étions occupés, aujourd’hui nous ne sommes pas occupés, mais nous renonçons à notre droit de débattre librement.” Si vous faites partie de ceux qui ont comparé le traité aux “pleins pouvoirs donnés au maréchal Pétain le 10 juillet 1940”, vous êtes dans des heures sombres.
Dans le port de #Cahuzac. Toujours sur le budget, Jérôme Cahuzac a été tancé par l’opposition à l’Assemblée nationale. Au lieu d’être dégonflé, le ministre du Budget a riposté en colère : « Qui êtes-vous pour donner des leçons ? C’est vous qui avez triplé la dette de la France en une décennie. Être humble; laisser aux Français le temps de se remettre de leur récent embarras. On dit que la vengeance est un repas chaud.
Qui est la chérie de Sarkozy, Copé ou Fillon.On ne le saura peut-être jamais puisque Brice Hortefeux, président de l’association des Amis de Nicolas Sarkozy, a été prié par des amis de François Fillon de ne pas prendre de décision. Ce qui donne? Parce qu’il a peur que ses propos soient déformés comme l’ont été ceux de l’ancien chef de l’État. Vous pouvez les regarder en vidéo sur PoliticoZap.

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