Charles Dumont Et Ses Fils

Charles Dumont Et Ses Fils – Charles Dumont chante « la femme et l’amour » depuis quarante-cinq ans. En tant que crooner français, il a fait ses débuts avec Édith Piaf, pour qui il a écrit plusieurs chansons, et a connu un grand succès dans les années 1960 et 1970 sous le nom de Piaf.
Histoire de la vie:
Charles Dumont, Enfant de Cahors (Lot), est né le 26 mars 1929. Au Conservatoire de Toulouse, il étudie la musique, qu’il adore, mais le solfège n’est pas son point fort. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, le jeune garçon découvre le jazz en écoutant le trompettiste Louis Armstrong. C’est une découverte. Après avoir décidé de jouer de la trompette, l’adolescent forme un groupe de jazz amateur.
Dans la galerie antiquités G. Beaumel à Cajarc, Frédéric Dumont, fils du célèbre chanteur Charles (à chacun de ses donateurs), annonce l’arrivée de la couleur avec ses lèvres rouges éclatantes, ses yeux bleus provocateurs et ses cheveux bleus irrésistibles. Les Beaux Arts de Londres sont l’école fondatrice de Frédéric.
Son succès grandit. En 1995, il expose à l’hôtel Normandie de Deauville. Il possède sa propre galerie à Cahors où il travaille, et les visiteurs peuvent y voir ses œuvres longtemps influencées par Dali et Magritte. Actuellement, place de l’église de Gérard Beaumel, il propose la nature morte : huiles sur bois. , du papier, ou encore des ardoises, notamment des « fruits à croquer », dont la saveur se révèle à travers les couleurs toujours fraîches et fruitées qu’on aime regarder ; loisirs assurés jusqu’à la fin de ce mois.
Malgré la petite taille de la plupart de ces huiles, deux tableaux de grande envergure se démarquent : l’imposante cathédrale de Cahors du XIIe siècle et un hommage tout aussi impressionnant au Douanier Rousseau. C’est un compositeur et écrivain qui a écrit des chansons pour des artistes tels que Edith Piaf. Aucunement, je regrette. Charles Dumont fait ses débuts chez les Pelaud.
Dernier d’une fratrie de sept, le père de Charles Dumont fut longtemps le chef de la fanfare d’Eymoutiers. Toute la famille vit à Eymoutiers. Les grands-parents, les tantes et les oncles ont du mal à les trouver tant ils sont nombreux. Dans la ville, la légende dit ceci : “Si tu es un Dumont, c’est l’heure d’aller à la soupe”. Quand le grand-père voit un gamin courir partout à l’heure du déjeuner ou du dîner, il l’attrape par les oreilles et lui dit : « C’est la soupe ».
Charles Dumont raconte son enfance chez les Pelaud dans son livre de 2012, Je ne regrette rien, aux éditions Calmann-Lévy. Il décrit y être heureux comme un pagnol au pied du Garlaban. En 1929, Charles Dumont voit le jour à Cahors, même s’il est très attaché au Limousin.
Une leçon de piano
Apprenant sa mobilisation pour la Première Guerre mondiale, son père est à Paris. Il y séjourne et rencontre la femme qui deviendra son épouse. Ils se réunissent et rejoignent le Lot après la guerre. Le grand-père paternel de Charles affiche fièrement ses exploits cyclistes.
De retour à Eymoutiers, le petit Charles se démarque parmi ses cousins car il joue du piano. Didier Daurat est le mécène de l’Aéropostale et son épouse est professeur de piano. Un jour, elle auditionne le jeune Charles. Elle lui assure que ses doigts sont faits pour jouer de cet instrument, convaincue qu’il y a un potentiel à exploiter. Cependant, elle n’est pas méchante avec lui. Elle va jusqu’à essayer de l’embarrasser. Le garçon jeune s’accroche.
Ce qui deviendra son expérience musicale prend le ton de cette expérience toulousaine. Les questions sur sa capacité à réussir ont persisté tout au long de sa vie, même au sein de sa propre famille. Seul son père le pousse à continuer. Il se plonge à corps perdu dans la chanson et tente d’imiter Charles Trenet ou Jean Sablon. Afin d’attirer l’attention des programmeurs, il ne se déguise pas en yé-yé. Finalement, sa marginalisation devient apparente et finit par devenir tendance.
Il fréquente les clubs de la ville rose et connaît même Hugues Panassié, fondateur du Hot Club de France et était ami avec Jean-Marie Masse, créateur du Hot Club de Limoges ; il est attiré par le jazz et ceux qui jouent de la musique noire américaine. Les portes d’un merveilleux univers musical s’ouvrent pour lui lorsque se produisent Fats Waller, Louis Armstrong et Ella Fitzgerald. Survécu à trois reprises par Piaf.
En 1950, il remporte le prix Édith Piaf à Deauville. Les bêtes de concours sont détestées par la chanteuse. Selon lui, un artiste ne chante pas pour gagner des prix, mais pour dire des choses. A leur premier rendez-vous, elle le vire. La deuxième fois, il leur propose de s’envoyer de la musique. Sa chanson est dédiée à Colette Renard par le soldat renégat.
Pour la troisième fois, c’est avec un monteur qu’Edith admire. Nerveux mais confiant, il montre sa chanson à Piaf, et elle lui dit : “Elle est tellement pour moi que je ne la chanterais jamais”. Elle se montre initialement hostile à son égard, mais elle devient progressivement plus accommodante.
Le 5 octobre 1960, il reprend enfin confiance. Pour qu’il puisse l’entendre, il a dû pousser la porte pour l’ouvrir. Aucunement, je regrette. Et cette “effraction” n’a été regrettée par aucune des deux personnes. Elle a modifié ma vision de la vie, de la chanson française et du monde en général. Trois ans avant son décès, je l’ai connue.
Elle n’était pas la femme méprisée que certains méprisaient. “Les Amants”, “La fille qui pleurait dans la rue”, “C’est peut-être ça”, “Mon vieux Lucien” et “Les flons flons du bal” comptent parmi les trente chansons qu’elle a enregistrées parmi les quarante -cinq que j’ai composé pour elle. Le jeudi 10 juin, “L’Instant de Luxe” est diffusé sur Non Stop People et Charles Dumont était l’invité.
C’est un monument de la chanson française. Charles Dumont, passionné de musique depuis son plus jeune âge, est le créateur de nombreux tubes français emblématiques. Parmi les grands noms des années 60 pour lesquels le chanteur et parolier a composé figuraient Tino Rossi, Luis Mariano et Dalida. Il est également connu pour avoir co-écrit une trentaine de chansons avec Edith Piaf. Charles Dumont, 91 ans et de plus en plus réservé sur scène, était l’invité de L’Instant de Luxe, mercredi 10 juin, sur Non Stop People.
Florence, la compagne de Charles Dumont dans “une douzaine d’années”, a été présentée à Jordan de Luxe par Dumont. Pour les moins créatifs, “Le sourire aux lèvres” s’appuie sur les circonstances de la rencontre de l’auteur, du compositeur et de l’interprète avec son compagnon. Quand j’étais très jeune, entre quinze et vingt ans, j’étais un grand admirateur de Charles. J’avais laissé un petit mot sur sa voiture”, a déclaré Florence.
C’était en Normandie. Il y avait cette belle Jaguar, et je vous avais dit qu’elle devait appartenir à Charles Dumont. Alors, avec tout le respect que je vous dois, j’ai laissé un petit mot sur le pare-brise. Si vous êtes libre ce soir, je vous accueille pour prendre un verre. “Et une heure plus tard, monsieur Dumont m’appelait”, se souvient-elle.
Une rencontre inattendue
Charles Dumont et Florence ont pris le temps de faire connaissance après avoir bu un verre ensemble. Comme elle le disait elle-même, “J’adorerais tout ce qu’il faisait” alors que Florence était “très fan” de Charles Dumont dans sa jeunesse. En route vers leur destin, les deux tourtereaux se rencontrent pour la première fois. “30 ans plus tard, c’est la chance qui a parlé”, a-t-elle déclaré.
Charles Dumont, musicien et acteur, est né le 26 mars 1929 à Cahors. Dès son plus jeune âge, il développe un amour profond pour le jazz et la trompette après avoir écouté la musique de Louis Armstrong. Il décide d’abandonner ses études pour poursuivre une carrière musicale après un séjour infructueux à Toulouse.
A l’âge de quinze ans, il fonde un groupe de jazz et s’installe à Paris pour poursuivre ses rêves musicaux. Suite à des problèmes de santé, le jeune homme est contraint d’arrêter la trompette et se retire de la musique. Il parvient à se recentrer et à devenir compositeur après avoir rencontré un claviériste auprès duquel il apprend le clavier. Il signe de nombreuses œuvres pour des artistes célèbres dans les années 1960, parmi lesquels Tino Rossi, Dalida, Jacques Brel ou encore Mireille Mathieu.
Mais c’est en 1956, lorsqu’il compose Non, moi ne regrette rien, avec le parolier Michel Vaucaire, que sa carrière prend un tournant majeur. Le titre est devenu l’un des plus grands succès d’Edith Piaf après qu’elle l’ait chanté en 1960. Charles Dumont signera ensuite plus d’une trentaine de chansons pour la chanteuse, dont des tubes comme “Mon Dieu”, “Flonflons du bal” et “Les amants”. dans le cadre d’une longue série de collaborations. Ils interprètent cette dernière chanson en duo en 1962.
Après la disparition d’Edith Piaf en 1963, la musicienne se lance dans une carrière solo et compose pour la télévision et le cinéma, dont les musiques originales des Aventures de Michel Vaillant de 1967, Trafic de 1971 et Parade de 1974. . De plus, il enregistre d’autres albums, tels qu’Une chanson (1976), Les Amours impossibles (1978) et Les chansons d’amour (1981). En plus de publier les œuvres Souviens-toi… un jour à Édith Piaf (1983) et De Piaf à Dumont : Les Mots d’amour (2003), le compositeur est encore sous le choc de la mort d’Edith Piaf.
L’Académie française a décerné le prix Henry-Jousselin à Charles Dumont en 1987 en reconnaissance de l’ensemble de ses chansons. Le musicien est toujours actif après plus de cinquante ans dans l’industrie et a composé plusieurs albums, dont Ta cigarette après l’amour (2010) et L’Âme sœur (2019). Après avoir rencontré une fan prénommée Florence après une prestation en Normandie, Charles Dumont la fréquente depuis plusieurs années.

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